PRISM

Du 18/10/23 au 31/03/24  - Terminé

Salle Anita Conti

Exposition

Photo : Yann Nguema

Du 18/10/23 au 31/03/24

Salle Anita Conti

Sortir !

Gratuit Entrée libre & gratuite dans la limite des places disponibles

Destiné à :

Famille

Après « Les mécaniques poétiques », présentée aux Champs Libres en 2013, Yann Nguema présente sa nouvelle exposition, PRISM. Devenu une référence dans la scène internationale de projections architecturales, il déplace ici son champ de recherche vers des systèmes de diffusion et création d’images plus intimistes et atypiques. Ces dix installations, pour la plupart inédites, mêlent technologie et poésie au service d'expériences sensibles, entre interaction et contemplation.

PRISM, bande-annonce

Starta, un samouraï 3D créée par des couches de verre imprimé et gravé pour simuler un hologramme en 3 dimensions.

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Un regard sur l'exposition

ATOM est une installation immersive, dédiée à la représentation d’une figure géométrique particulièrement complexe appartenant aux polytopes 4D. Loin de la géométrie conventionnelle, ces polytopes sont des objets mathématiques fondés sur une abstraction qui est difficile à représenter. ATOM dévoile la beauté enfouie derrière ces concepts, en offrant une visualisation de ces figures dans une salle immersive en stéréoscopie : une chambre de réalité virtuelle sans casque, qui permet de se ‘‘projeter’’ dans un décor virtuel grâce à des lunettes 3D.
ATOM, exposition PRISM de Yann Nguema, Julien Mignot CCBYSA ATOM est une installation immersive, dédiée à la représentation d’une figure géométrique particulièrement complexe appartenant aux polytopes 4D. Loin de la géométrie conventionnelle, ces polytopes sont des objets mathématiques fondés sur une abstraction qui est difficile à représenter. ATOM dévoile la beauté enfouie derrière ces concepts, en offrant une visualisation de ces figures dans une salle immersive en stéréoscopie : une chambre de réalité virtuelle sans casque, qui permet de se ‘‘projeter’’ dans un décor virtuel grâce à des lunettes 3D.
Gravity est une sculpture cinétique augmentée qui se déploie sur plus de 20 mètres de long. Elle utilise le vent produit par des ventilateurs pour mettre en mouvement des drapés de soie très fins et légers sur lequel sont projetées des images.  Elle s’inspire des travaux et recherches de Daniel Wurtzel, un artiste Américain pionnier dans l’utilisation de l’air pour créer des sculptures cinétiques. Yann Nguema vient ici prolonger ses recherches en exploitant le drapé de soie comme un écran.  Cette installation invite au rêve et à la contemplation, devant l’élégance et la légèreté des voiles flottants.
Gravity, exposition PRISM de Yann Nguema, Julien Mignot CCBYSA Gravity est une sculpture cinétique augmentée qui se déploie sur plus de 20 mètres de long. Elle utilise le vent produit par des ventilateurs pour mettre en mouvement des drapés de soie très fins et légers sur lequel sont projetées des images. Elle s’inspire des travaux et recherches de Daniel Wurtzel, un artiste Américain pionnier dans l’utilisation de l’air pour créer des sculptures cinétiques. Yann Nguema vient ici prolonger ses recherches en exploitant le drapé de soie comme un écran. Cette installation invite au rêve et à la contemplation, devant l’élégance et la légèreté des voiles flottants.
ANATO-ME  Un masque de geisha, gravé au laser dans 3 blocs de verre, est prolongé dans sa partie réelle par des impressions 3D. Une image interactive à l’arrière des blocs vient donner vie à l’ensemble tandis qu’en arrière-plan une animation diffuse un atlas électronique d’organes humains en 3 dimensions.  Par le biais d’un capteur, le spectateur peut plonger sa main à travers le masque et sonder l’ensemble des organes de la boîte crânienne de la geisha. La finalité n’est pas de donner à voir un clone anatomique respectant la rigueur médicale, mais d’utiliser cette source scientifique pour produire de l’art, de l’étonnement et de la poésie. Il s’agit de donner à voir ce que l’on ne peut imaginer, dessiner, prévoir grâce à la puissance de l’outil informatique et à l’exploitation d’une base de données purement scientifique à travers le prisme d’un écran hybride.  Ce projet a été développé dans le cadre d’une résidence à l’Atelier Arts Sciences de Grenoble en 2018.
Anato-Me, exposition PRISM de Yann Nguema, Julien Mignot CCBYSA ANATO-ME Un masque de geisha, gravé au laser dans 3 blocs de verre, est prolongé dans sa partie réelle par des impressions 3D. Une image interactive à l’arrière des blocs vient donner vie à l’ensemble tandis qu’en arrière-plan une animation diffuse un atlas électronique d’organes humains en 3 dimensions. Par le biais d’un capteur, le spectateur peut plonger sa main à travers le masque et sonder l’ensemble des organes de la boîte crânienne de la geisha. La finalité n’est pas de donner à voir un clone anatomique respectant la rigueur médicale, mais d’utiliser cette source scientifique pour produire de l’art, de l’étonnement et de la poésie. Il s’agit de donner à voir ce que l’on ne peut imaginer, dessiner, prévoir grâce à la puissance de l’outil informatique et à l’exploitation d’une base de données purement scientifique à travers le prisme d’un écran hybride. Ce projet a été développé dans le cadre d’une résidence à l’Atelier Arts Sciences de Grenoble en 2018.
Le Soleidoscope est un système de visualisation interactif basé sur la réflexion. Composé de cellules cubiques en plexiglas, Il est utilisé tel un miroir. Ses centaines de facettes viennent fragmenter les reflets d’images présentées sur deux moniteurs qui encadrent un objet. Entre écran et installation lumineuse, le soleidoscope crée l’illusion que l’image est suspendue dans la matière transparente du cube.  Son nom est inspiré du kaléidoscope avec lequel il partage le principe de déconstruction et fragmentation d’une image.
Le soléidoscope, exposition PRISM de Yann Nguema, Julien Mignot CCBYSA Le Soleidoscope est un système de visualisation interactif basé sur la réflexion. Composé de cellules cubiques en plexiglas, Il est utilisé tel un miroir. Ses centaines de facettes viennent fragmenter les reflets d’images présentées sur deux moniteurs qui encadrent un objet. Entre écran et installation lumineuse, le soleidoscope crée l’illusion que l’image est suspendue dans la matière transparente du cube. Son nom est inspiré du kaléidoscope avec lequel il partage le principe de déconstruction et fragmentation d’une image.

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