Raymond Depardon

Une double exposition aux Champs Libres et au Frac Bretagne.

Photo nommée "Oran. 2019." représentant un front de mer de avec un palmier géant, une barrière et une silhouette tournée vers le palmier.  Les éléments décrits sont très contrastés, presque des silhouettes noires sur un fond clair gris. Par dessus est écrit "Raymond" en petit et en noir, et "DEPARDON" en majuscule et en rouge.

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Du 15 juin 2024 au 5 janvier 2025

Une double exposition aux Champs Libres et au Frac Bretagne

Son œil dans ma main

Aux Champs Libres

Raymond Depardon, alors tout jeune photographe, réalise l'un de ses premiers reportages en 1961 dans l’Algérie d’avant l’indépendance. En 2019, celui qui est devenu entre-temps un des plus grands photographes de son temps, retourne en Algérie, où il se lie d’amitié avec l’écrivain algérien Kamel Daoud. Ensemble, ils créent un livre et une exposition mêlant les photographies de l’un aux textes de l’autre. Ils dressent un pont entre deux époques d’un même pays, témoignent de ses turbulences et de sa beauté.

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Prise du haut, la photo montre 6 personnes qui marchent sur un traçage de passage piéton

Rural

Aux Champs Libres

Au cours des années 1990 et 2000, Raymond Depardon sillonne la France paysanne avec sa chambre photographique 6 x 9. De cette exploration du monde rural, il réalise des photographies en noir et blanc qui racontent la terre, les hommes, le travail manuel, l’isolement et la fragilité des petites exploitations agricoles mais aussi la beauté des paysages français.

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Photo en noir et blanc. Le tiers inférieur de l'image est découpé en biais, et couvert d'une végétation rase parsemée de quelques arbres sans feuilles. Les 2 tiers restants sont composés d'un ciel gris uniforme. Au centre, un homme se tient, cheveux blancs, vêtent d'une salopette, une chemise blanche et d'une gapette. L'effet de solitude est renforcé par les arbres noirs qui l'encadrent.

Les Jeux Olympiques

Au Frac Bretagne

Pensée en six sections correspondant aux 6 olympiades photographiées par Raymond Depardon entre 1964 et 1980, l’exposition dresse en 165 photographies un portrait aussi bien sportif que politique et géopolitique d’un monde en pleine guerre froide.

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Sur un fond qu'on devine de gradins flous, un homme noir, de profil, l'expression neutre (avec peut-être un léger sourire ?) lève le poing.


Informations pratiques


  Du 15 juin 2024 au 5 janvier 2025

  Salle Anita Conti et parcours permanent du Musée de Bretagne

Tarifs

Billet couplé pour les expositions Son œil dans ma main aux Champs Libres et Les Jeux Olympiques au FRAC Bretagne : plein tarif : 5 € / tarif réduit : 3 €. Le billet couplé est valable une fois dans chaque lieu pendant la durée de l’exposition. Le billet couplé Depardon plein tarif donne accès au tarif réduit de l’exposition Aérosol. Une histoire du graffiti au Musée des beaux-arts.

Billet simple pour une des deux expositions : plein tarif : 3 € / tarif réduit : 2 €.

Tarif réduit pour les enseignants (hors Pass Éducation) et sur présentation d’un billet plein tarif de l’exposition Aérosol. Une histoire du graffiti du Musée des beaux-arts. Gratuité pour les jeunes de moins de 26 ans, étudiants de plus de 26 ans, titulaire de la carte Sortir! ou des minima sociaux, personne en situation de handicap et son accompagnateur (y compris pensionnés de guerre) justificatif international accepté, titulaires du Pass Éducation et enseignants en pré visite, demandeurs d’emploi, professionnels de la culture (ICOM, ICOMOS, guides conférenciers, membres des associations AMEBB et amis du Frac, SAMBA, titulaires Agessa, MDA….), journalistes, prescriptions médicales et sur présentation d’invitation.

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Raymond Depardon, subjectif derrière l'objectif

Ses origines paysannes, ses immersions en agence photo puis dans le cinéma, sa perception du photojournalisme… Cinq entretiens de 2006 par France Culture.

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Dans le cadre de

Sur un fond rouge, on retrouve l'habituel logo d'Exporama (les lettres du nom à la manière d'un dépliant), en rose pâle, dupliqué en 3 exemplaires empilés, et par dessus lequel se trouve le visuel de Charlotte Vitaioli : un visage aux joues roses, à la frange brune, aux lèvres rouges, et aux nuages dans les yeux.

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Sur un fond bleu marine, en jaune et en majuscule, écrit "une traversée photographique" dans un police grasse, aux "E" travaillés de sorte à rappeler le mouvement des vagues.

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